Slasher rime avec épicurien pour Hélène Picot. « C’est la notion de plaisir qui prime », assène-t-elle, sourire jusqu’aux oreilles en dégustant un chocolat chaud. D’ailleurs, tient-elle à préciser d’emblée, « pour moi, slasher et précarité ne vont pas ensemble. Cela ôte la notion intrinsèque de bien-être ».
Depuis six ans elle cumule, par choix, plusieurs casquettes : coach certifiée en reconversion professionnelle, auteur de livres, conférencière, secrétaire générale de la Sauge